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Fondée en 1559, l’Université de Genève est aujourd’hui l’une des plus grandes hautes écoles de Suisse. L’institution jouit d’un rayonnement international privilégié et cultive son ouverture au monde.

Elle se distingue par son patrimoine intellectuel, sa tradition humaniste et la polyvalence de son enseignement et de sa recherche, visant l’excellence dans tous les domaines qu’elle choisit d’investir.

Actrice de la révolution numérique, l’UNIGE est pionnière dans l’utilisation des technologies numériques dans l’ensemble de ses secteurs d’activité.

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L’UIT est l’institution spécialisée des Nations Unies pour les technologies de l’information et de la communication (TIC).

L’UIT rassemble tous ceux qui comptent dans le secteur des TIC. Notre spécificité par rapport aux autres institutions des Nations Unies est que nous réunissons des membres du secteur public et du secteur privé. Nous comptons 193 Etats Membres, auxquels s’ajoutent des régulateurs du secteur des TIC, de grands établissements universitaires et quelque 700 entreprises du secteur privé.

Dans un monde de plus en plus interconnecté, l’UIT est la seule organisation internationale qui englobe tous les acteurs d’un secteur très dynamique et en pleine expansion.

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Le Département de la sécurité et de l’économie du Canton de Genève, dirigé par le Conseiller d’Etat Pierre Maudet, est responsable – entre autres – de la promotion économique et de la sécurité.

Il compte, parmi ses services, la DGSI (direction générale des systèmes d’information), est chargée, en collaboration avec les départements de l’Etat, de l’élaboration, puis de la concrétisation de la stratégie des systèmes d’information et de communication de l’administration cantonale ainsi que de la politique de sécurité de l’information. Le périmètre placé sous gestion de la DGSI concerne notamment :

  • 86 systèmes d’information et de communication, en support de l’ensemble des politiques publiques de l’Etat de Genève ;
  • 660 applications, à l’intention des départements et offices de l’administration cantonale ;
  • 175 000 comptes utilisateurs, dont 50 000 pour l’administration en ligne ;
  • Un réseau métropolitain constitué notamment de 350 km de fibre optique, 4 700 équipements réseau et 65 000 prises informatiques et téléphoniques, réparties sur 500 sites géographiques ;
  • Quelque 28 000 ordinateurs — dont 15 000 pour le secteur pédagogique — et 8 000 imprimantes ;
  • 20 000 téléphones, 500 télécopieurs et 2 600 abonnements de téléphonie mobile ;
  • 2 900 serveurs informatiques ;
  • 40 000 boîtes aux lettres électroniques, qui voient l’échange de 86 millions de messages par an ;
  • 1,8 million de giga-octets de stockage bruts.
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Le Clusis, l’association suisse dédiée à la sécurité des systèmes d’information.

Le Clusis est une association sans but lucratif fondée en 1989. Elle ne comptait alors que peu de membres ; en 2014, elle en compte plus de 300. Elle est devenue un pôle de compétences reconnu dans le domaine de la sécurité des systèmes de l’information.

A l’origine, les fondateurs du Clusis sont conscients que les entreprises doivent être sensibilisées aux risques auxquels elles sont désormais exposées.  Les technologies de traitement de l’information connaissent un essor prodigieux et les entreprises ont pu se développer grâce à elles,sans être toujours en mesure de protéger leurs affaires et leurs données sensibles. Les PME ont par ailleurs besoin d’un interlocuteur compétent pour répondre à leurs questions. Le Clusis est làLes risques et menaces ont évolué depuis la création de l’association et les métiers autour de la sécurité des systèmes d’information se sont spécialisés. Le Clusis aujourd’hui est une véritable plateforme d’échanges. Les experts qui le composent sont des professionnels compétents et expérimentés, des professeurs chevronnés du monde académique et des hautes écoles, des responsables qualifiés de la sécurité, des PME ou organisations impliquées dans ces problématiques.

Grâce à des conférences ciblées et pointues, ainsi qu’un site interactif, le Clusis partage son savoir actualisé avec les entreprises et experts intéressés. Le succès de ces échanges témoigne de la qualité des intervenants et de leurs apports mutuels.

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Police Judiciaire, brigade de criminalité informatique.

La brigade de criminalité informatique (section forensique) enquête sur les infractions commises via les technologies nouvelles, telles celles relatives aux mœurs (traque des réseaux pédophiles notamment) ou à la finance.

En outre, elle apporte un appui aux différents services de police lorsque des supports informatiques doivent être explorés.

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Police Judiciaire, brigade des mineurs

La brigade des mineurs (section des infractions contre la personne) mène des enquêtes relatives à des infractions commises par des mineurs (moins de 18 ans) et en dénonce les auteurs au Tribunal des mineurs. Les spécialistes qui la composent sont donc amenés à traiter tout type d’infraction, avec une approche adaptée à l’âge des prévenus concernés.

Si son rôle répressif est indéniable, une part importante de son activité se déploie à des fins préventives, lors des patrouilles et des contrôles réguliers, mais également lors de séances d’information et de médiation dans des établissements scolaires.

L’interaction avec les parents, les milieux scolaires, les éducateurs et les intervenants des structures sociales caractérise l’approche interdisciplinaire de la brigade.

Les policiers de cette brigade sont particulièrement sensibilisés à la prise en charge des mineurs victimes d’infractions.

La brigade des mineurs est également chargée des enquêtes relatives aux disparitions d’enfants et d’adolescents.